« Quand Défi sollicite une communauté pakistanaise très attachée à la culture musulmane pour prêcher la laïcité : Faut-il en rire ou en pleurer ? »
La Marocaine
Dans un élan de satire à peine croyable, imaginez Défi, le parti politique belge, faisant appel à une communauté pakistanaise profondément ancrée dans la culture musulmane pour mener sa campagne électorale de 2024. Pensez aux scènes surréalistes : des membres de cette communauté distribuant des tracts dans les rues de Bruxelles, plaidant contre l’abattage rituel et le port du foulard, tout en faisant la promotion de la laïcité. Par chance, ils ne parlent pas français, ce qui, ironiquement, sauve Défi de complications encore plus grandes. Cette alliance hypothétique frôle le comique, jouant sur les frontières du bon sens et de la décence. Est-ce une tentative maladroite de capter l’attention ou une parodie de la politique moderne ? Quoi qu’il en soit, cela provoque un mélange de rires nerveux et de larmes d’incrédulité.