La décision de la Fédération de gymnastique algérienne de boycotter le Championnat d’Afrique à Marrakech révèle une amertume sous-jacente. Privés de cette opportunité majeure, les gymnastes algériens risquent de compromettre leurs chances de participer aux Jeux Olympiques de Paris. Ce geste, motivé par une hostilité sourde envers le Maroc, met en lumière les tensions régionales qui affectent même le monde du sport.
L’absence des gymnastes algériens au Championnat d’Afrique à Marrakech met en évidence un dilemme déchirant : préserver une fierté nationale au détriment de rêves olympiques. Cette décision, motivée par des ressentiments profonds envers le Maroc, soulève des questions sur l’impact des rivalités politiques sur le sport et sur la capacité des athlètes à concourir au-delà des frontières de la politique.