Deux mois plus tard, ce 29 mars, l’ambiance est bien différente. Le printemps est là, le soleil brille haut dans un ciel sans nuages. Mais personne n’a oublié Arnaud Hiblot. Dans les commerces de la région, de petites affiches «avis de recherche»sont toujours collées ici et là. Le mystère de sa disparition reste total. Un mystère que les quelque 25 policiers et membres de la protection civile, revenus lundi à Chiny, sont bien décidés à lever. Le dispositif est conséquent. Outre la police locale, on constate la présence de la protection civile, des hommes du Groupe d’intervention en milieu périlleux (Grimp) et de la DVI, la cellule disparition de la police fédérale.