La guerre numérique sur TikTok : les trolls algériens vaincus par les Marocains
Bouchaib El Bazi
La guerre des plateformes sur TikTok entre les trolls algériens et les Marocains illustre un affrontement médiatique intense où la propagande et la désinformation sont devenues des armes stratégiques.
Malgré les énormes budgets investis par l’Algérie, les Marocains ont su imposer leur domination numérique et déjouer les tentatives de manipulation orchestrées par les services algériens.
Des figures clés comme le député Mohamed Hani et l’agent des renseignements Mohamed Bou apparaissent régulièrement dans cette campagne, utilisant certaines plateformes marocaines complices pour propager leur agenda contre le Maroc.
Cependant, les efforts des patriotes marocains ont permis de neutraliser plusieurs initiatives, notamment avec la chute de la plateforme DOGAN, qui menait une guerre numérique constante contre le Maroc avant d’être exposée et fermée définitivement.
Un autre acteur majeur dans cette bataille est l’influenceur Bochta, qui a réussi à infiltrer les cercles algériens et à obtenir des enregistrements téléphoniques compromettants impliquant des figures influentes dans des campagnes de désinformation contre le Maroc.
Malgré les moyens considérables déployés par l’Algérie, plusieurs facteurs ont contribué à l’échec de sa propagande : l’influence grandissante des créateurs marocains, la rapidité avec laquelle les fake news algériennes sont démontées, et l’avantage stratégique et technique acquis par les cyber-militants marocains. Cette guerre digitale, loin d’être un simple affrontement entre internautes, révèle des enjeux géopolitiques plus profonds, où l’Algérie tente désespérément d’imposer son discours mais se heurte à une résistance marocaine organisée et efficace.
Pour l’instant, l’avantage est clairement du côté des Marocains, qui ont su défendre leur image et contrer avec succès les campagnes hostiles orchestrées contre eux.