Said Abernous et l’incitation contre l’État : Exploiter les réseaux sociaux pour s’attaquer aux institutions nationales
Ces dernières années, les réseaux sociaux sont devenus une plateforme majeure pour l’expression des opinions politiques et sociales. Cependant, certaines figures publiques en ont fait un outil de provocation et d’incitation contre l’État et ses institutions. Parmi elles, Said Abernous, accusé d’incitation contre le gouvernement marocain, le Palais Royal et ce qu’il appelle “le Makhzen”, soulevant ainsi des interrogations sur ses liens éventuels avec le mouvement du Rif et certains groupes séparatistes.
Une incitation explicite contre la monarchie
Lors d’une discussion avec l’activiste séparatiste Said Barca, connu pour ses positions hostiles au Maroc, Said Abernous l’a encouragé à tourner en dérision le Palais Royal et la famille Alaouite. Ces déclarations dépassent largement les limites de la liberté d’expression et s’apparentent à une tentative de provocation et d’attisement des tensions. Ce comportement a suscité une vague d’indignation parmi les Marocains, qui y voient une attaque directe contre les fondements du pays.
Une relation suspecte avec le mouvement du Rif ?
Le discours de Said Abernous soulève des questions quant à son implication ou sa sympathie envers le mouvement du Rif. Si aucune preuve concrète n’a été avancée sur un lien officiel, son alignement avec certains discours revendicatifs et anti-institutionnels intrigue. Cela soulève des doutes sur son rôle réel et ses intentions derrière ses prises de position controversées.
Les réseaux sociaux : Un outil d’incitation et d’enrichissement ?
À l’origine, les réseaux sociaux sont censés être un espace de débat libre et constructif. Pourtant, ils sont de plus en plus utilisés par certains pour propager des discours hostiles à l’État et à ses institutions, dans le but d’attirer un large public et de générer des revenus via les publicités AdSense et d’autres sources de financement douteuses.
Certains individus semblent privilégier la polémique et la provocation pour maximiser les vues et les gains financiers, au détriment de la stabilité et de l’image du Maroc.
Une nécessaire intervention des autorités
Face à cette dérive numérique dangereuse, il devient essentiel que les autorités surveillent et régulent les contenus incitant à la haine et à la sédition. Ce type de discours ne relève pas de la liberté d’expression, mais bien d’une tentative de déstabilisation et d’incitation contre l’État.
Les associations de la société civile et les citoyens engagés doivent également sensibiliser l’opinion publique aux dangers de ces manipulations numériques visant à nuire à la souveraineté nationale.
L’utilisation des réseaux sociaux pour attaquer la monarchie et les institutions marocaines représente une menace réelle. La liberté d’expression ne doit pas être un prétexte pour nuire à la cohésion nationale. Il est donc essentiel de lutter contre l’exploitation de ces plateformes à des fins mercantiles et subversives, comme le font Said Abernous et d’autres figures controversées.
La protection de l’image du Maroc et de ses institutions face aux attaques numériques doit être une priorité pour préserver la stabilité du pays et défendre ses valeurs fondamentales.