Dans les coulisses souvent méconnues des campagnes électorales belges, un acteur sinistre mais souvent ignoré prend le centre de la scène : les ASBL. Ces organisations, censées œuvrer pour le bien commun, se sont parfois transformées en outils sournois au service des politiciens et de leurs agendas personnels.
Imaginez une toile complexe tissée de promesses de subventions généreuses, de locaux prestigieux offerts gracieusement et d’activités culturelles alléchantes, le tout conçu pour attirer le précieux vote des électeurs, en particulier ceux de la diaspora marocaine à Molenbeek.
Pourtant, derrière cette façade de générosité et d’inclusion, se cache souvent une réalité bien plus sombre. Ces ASBL, loin de travailler pour l’intérêt général, semblent plus préoccupées par leur propre gain et le maintien du statut quo politique. Elles manipulent habilement la population, distillant la désinformation à travers des pseudo-journalistes et des débats dénués de toute substance.
Le résultat ? Un électorat manipulé, mal informé et parfois même méprisé. Des individus qui se font passer pour des porte-parole de la vérité, alors qu’ils ne maîtrisent même pas les dossiers dont ils prétendent discuter. Leur présence dans le paysage électoral de Molenbeek soulève des questions fondamentales sur l’intégrité de notre système démocratique.
Il est grand temps de démasquer ces acteurs de l’ombre et de demander des comptes sur leurs véritables intentions. Car tant que les ASBL continueront à agir comme des marionnettes politiques, la démocratie elle-même restera en péril.