Le Polisario enrôle des mercenaires pour commettre des attentats terroristes
Le Polisario a enrôlé et entraîné des mercenaires au maniement des armes à feu et à prendre d’assaut des maisons avec des munitions réelles. Une preuve de plus de la collusion entre les milices et les groupes terroristes subsahariens. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.
Le Polisario s’est auto-dénoncé quand il a annoncé, lors d’un défilé militaire, la sortie d’une nouvelle promotion de «combattants» qui sont en réalité des mercenaires originaires de l’Afrique subsaharienne entrainés pour commettre des attentats terroristes.
Plusieurs services de renseignement révèlent que ces combattants qui ont été soumis à un entrainement militaire ont été recrutés par les milices pour renforcer leurs rangs surtout après le refus de certains jeunes d’être enrôlés dans ce qu’elles appellent «armée». Le Polisario a affirmé que ces mercenaires ont été entrainés à «prendre d’assaut et à détruire les maisons avec des munitions réelles».
Ils dénoncent ainsi leurs véritables objectifs de commettre des actes abjects similaires à ceux perpétrés par les groupes terroristes pour effrayer les civils innocents dans leurs maisons. Le recours à ces mercenaires fait suite au refus des jeunes et de nombreux membres d’organisations parallèles du Polisario d’être enrôlés dans les rangs des milices armées. Les réfractaires refusent, en effet, de poursuivre ce jeu perfide des miliciens du Polisario qui consiste à inciter les tribus sahraouies à s’entretuer dans les camps de Tindouf.
Nos sources soulignent que la direction du Polisario a supervisé la formation de cette nouvelle promotion de «combattants pour servir la nation». Or ces mercenaires n’ont ni affiliation, ni appartenance aux tribus sahraouis. Ils ne connaissent même pas la signification de la nation. Ils se sont retrouvés sur cette parcelle de sable à Tindouf où ils ont été déployés par le régime militaire algérien pour faire chanter le Royaume.
Ce chantage a été un fiasco grâce entre autre à la reconnaissance de la plupart des pays africains de la souveraineté marocaine sur son Sahara consacrée par l’ouverture de dizaines de représentations diplomatiques dans les provinces du Sud. Des pays amis qui ont, en outre, réclamé l’expulsion de cette entité fantoche de l’Union africaine (UA).