Manifestations françaises: motivations économiques ou échec d’intégration des immigrés

Les manifestations françaises qui ont débuté le 17 novembre contre la décision d’augmenter les prix de l’essence et du coût de la vie ont provoqué des réactions politiques mitigées dans l’interaction avec l’événement et ses répercussions, ce qui a surpris tous ceux qui ont suivi la violence et la rapidité de son expansion, notamment ses revendications. Mais le phénomène des vestes jaunes a non seulement produit leurs effets politiques, mais a également amené les différences existantes au premier plan des préoccupations.

Le premier consensus français sur la légalité des manifestations et sur le bien-fondé de ses principes et motivations ne dissimulait pas l’existence de très nombreuses différences dans la prise en compte des récents événements français. Les lectures qui ont essayé de montrer rapidement l’arrière-plan de l’événement en se basant sur ses origines idéologiques ont donné à cet événement des visions contradictoires dans la mesure où il suggère que nous sommes sur plus d’un événement.

Les mouvements des « vestes jaunes », caractérisés par un manque de leadership clair et l’absence de partis ou de syndicats derrière leurs slogans, ont apporté un soutien et une opposition considérables à leurs partisans et dissidents, et ont également reçu un soutien clair de la part de la droite et de la gauche, sans aucun doute pour chacun de ces documents. Le chef de la France, Jean-Luc Melanchon, ainsi que le chef de la droite du Front national, Marin Le Pen, rencontreront des représentants de l’opposition française et conviendront de convoquer des élections anticipées et de dissoudre le Parlement. Loban a qualifié Macron « d’enfant têtu qui refuse d’écouter ce que le peuple dit pour se sortir de cette situation ». Melanchon a salué « la rébellion de citoyens qui effraie Macron et les riches ». Cependant, cet « accord », que nous connaissons également dans d’autres positions politiques, à droite et à gauche, n’est rien d’autre qu’un accord visant à tirer le meilleur parti possible du moment politique actuel, mais il ne cache pas non plus des différences significatives dans la prise en compte des motifs de la protestation et de l’évaluation des trois semaines. Dans le passé, ainsi que dans une tentative d’explorer les machinations françaises possibles.

Il est clair que la scène française actuelle reproduit ses anciennes disparités au vu des événements récents. L’esprit politique français a continué à adopter une lecture ancienne des nouvelles manifestations populaires sans leadership ni programme politique clair, liant la droite à ses fiefs et gardant la gauche à ses positions, bien que tous deux soient d’accord. Les courants de droite longtemps affectés par les politiques d’immigration et l’impact de l’existence des immigrés, à la recherche de preuves de la situation économique française, n’ont pas attendu assez longtemps pour apporter le soutien nécessaire aux vestes jaunes afin de révéler la position de soutien à l’ancienne situation. Pour les mains tremblantes sur les questions d’immigration, la crise récente est essentiellement un résultat objectif des valeurs françaises usées qui doivent être réexaminées. Ainsi, la droite voit les mouvements des vestes jaunes dans leur profondeur et leurs motifs.

Si le récent bouleversement français est un phénomène social complexe qui ne peut être interprété comme un facteur, il résulte inévitablement d’un chevauchement profond entre la marginalisation politique, sociale et économique, une marginalisation qui s’étend de manière inégale à tous les Français. Les tentatives de partage des positions et des projets entre minorités et immigrés, d’une part, et français, d’autre part, sont une lecture déficiente de l’événement, de mes motivations et des auteurs. Le départ des enfants d’immigrés pour manifester dans les rues françaises est la preuve de leur incapacité à s’intégrer ou de l’incapacité de l’État à trouver des solutions pour leur intégration, en échange d’autres positions ou des positions identiques. La sortie des Français est un signe politique sain et un droit légitime prévu par la loi, la constitution et les valeurs françaises. Protéger leurs droits économiques et sociaux. Ces positions portent atteinte à la citoyenneté française lors du meurtre et reprennent des déclarations de droite qui portent sur cette division, mais portent la situation actuelle en France (et en Europe).

Laisser un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée.