La montée de l’insécurité décriée !
1000 Bruxelles est classée parmi les communes les plus dangereuses d’Europe .Un classement qui ne devrait sans doute pas plaire aux responsables sécuritaires. Mais pour les riverains, ce classement ne reflète pas l’ampleur de leur sentiment d’insécurité.
L’insécurité à 1000 Bruxelles a atteint des seuils intolérables. Agressions, vols, cambriolages, viols, homicides, meurtres prémédités, violence gratuite… les crimes et délits foisonnent. Faire une promenade ou sortir pour faire des emplettes à la tombée de la nuit demande beaucoup de courage. Plus même! Certains avenue sont réputés pour être des fiefs de l’insécurité: Avenue Stalingrad , Mourice Lemonnier et quartier metro Ribaucourt , les avenues sensibles de Bruxelles sont nombreux et célèbres même dans les autres villes Belge . Mais même la commune Molenbeek n’est pas épargnés. Et ce n’est pas un simple pressentiment et ou un constat exagéré.
«//www.stat.policefederale.be/statistiquescriminalite/interactif/tableau-par-zone-de-police/»
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Un constat déplaisant
Ce classement ne devrait sans doute pas plaire aux responsables sécuritaires de la commune de 1000 Bruxelles . Sans surprise, il ressort du dernier bilan de la criminalité à Bruxelles , publié dernièrement ,
la hausse du taux des crimes peut avoir une incidence, à terme, sur la perception de la sécurité par les citoyens, en particulier dans des zones défavorisés.Ce sentiment est nourri quotidiennement par des actes de violence et des crimes abominables, des scènes horribles auxquelles les citoyens assistent, bon gré mal gré, dans la rue, dans le bus par les sans papiers…. ou suivent, parfois en direct, sur les réseaux sociaux. Une chose est sûre: Les crimes déclarés ne reflètent pas fidèlement la réalité du terrain car les agressions ne sont pas toutes déclarées ou font l’objet de poursuites. D’autant plus que le manque d’effectifs de la police et l’ingéniosité des modus operandi des crimes et délits compliquent davantage la donne.
Un sentiment nourri par des faits
La capitale économique n’est certes pas Caracas, Rio De Janeiro ou Johannesburg, mais des incidents récurrents et la délinquance des sans papiers y prennent une ampleur inquiétante. Les agressions se déroulent au grand jour, au vu et au su de tout le monde. Et les sans papiers , armés d’armes blanches , n’ont plus peur de rien, défiant même quand ils sont interceptés par une patrouille de police .
«Autrefois, on pouvait sa balader en famille sans courir aucun risque. Aujourd’hui, plus rien n’est sûr. On croise des individus louches dont le regard renseigne sur l’intention sordide. A 1000 Bruxelles , la présence accrue de la police au sein des boulevards et des artères pendant ce mois du ramadan ne change rien dans l’histoire . La nuit il y a un gros problème d’insécurité. On ressent même que les sans papiers redoublent d’efforts pour compenser les jours “chômés”», ou ils vendent différents produits affirme avec ironie et amertume un commerçant de l’avenue Mourice Lemonnier .
Une scène quasi quotidienne
Les Bruxellois , sont plus que jamais paralysés par le sentiment d’insécurité. La hausse effrénée de la violence et des crimes fait régner une psychose générale. Il ne passe pas un jour sans que la presse n’expose en manchette des actes criminels où des citoyens sont violement agressés et terrorisés dans la commune de 1000 Bruxelles .
Mardi 22 Mai 2018 ,un chauffeur du taxi a été victime d’une agression qui aurait pu lui être fatale. Un sans papiers lui a asséné deux coups de couteau sur le côté gauche de l’abdomen. Il fut transporté d’urgence à l’hôpital .
Pour un oui ou un non, l’agresseur use de son arme blanche face à sa victime paralysée par la peur.
Plus qu’un sentiment ou un pressentiment, la violence et la criminalité sont un vécu quotidien imposé aux Bruxellois .