.Les Musulmans et Les Juives de La Belgique ensemble Contre l’interdiction de l’abattage rituelle

L’Exécutif des Musulmans (EMB), le Conseil de coordination des institutions islamiques de Belgique et les autorités conjointes de la communauté musulmane de Belgique sont entre autres allés devant la Cour constitutionnelle pour contester cette interdiction. Ces organisations affirment qu’il s’agit d’une attaque directe contre l'”une des plus essentielles prescriptions alimentaires de la foi musulmane, une exigence que les animaux doivent être abattus rituellement (halal)“.

Le Comité de coordination des organisations juives de Belgique a également introduit un recours devant la Cour constitutionnelle.

Pour l’instant, cinq plaintes, rassemblant 51 plaignants, ont donc été déposées devant la juridiction qui veille à l’application de certains droits fondamentaux garantis par la Constitution. La Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE), saisie d’une question préjudicielle par le tribunal (néerlandophone) de première instance de Bruxelles, se penche également sur l’interdiction.

Une partie des communautés musulmane et juive manque une opportunité de soutenir la tendance générale qui vise à réduire la souffrance animale“, déplore M. Weyts. “Au lieu de mener une croisade légale, chacun devrait se battre pour le bien-être animal“, ajoute-t-il, tout en précisant qu’il comptait bien voir l’interdiction s’appliquer dès 2019.

L’Exécutif des Musulmans (EMB), le Conseil de coordination des institutions islamiques de Belgique et les autorités conjointes de la communauté musulmane de Belgique sont entre autres allés devant la Cour constitutionnelle pour contester cette interdiction. Ces organisations affirment qu’il s’agit d’une attaque directe contre l'”une des plus essentielles prescriptions alimentaires de la foi musulmane, une exigence que les animaux doivent être abattus rituellement (halal)“.

Le Comité de coordination des organisations juives de Belgique a également introduit un recours devant la Cour constitutionnelle.

Pour l’instant, cinq plaintes, rassemblant 51 plaignants, ont donc été déposées devant la juridiction qui veille à l’application de certains droits fondamentaux garantis par la Constitution. La Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE), saisie d’une question préjudicielle par le tribunal (néerlandophone) de première instance de Bruxelles, se penche également sur l’interdiction.

Une partie des communautés musulmane et juive manque une opportunité de soutenir la tendance générale qui vise à réduire la souffrance animale“, déplore M. Weyts. “Au lieu de mener une croisade légale, chacun devrait se battre pour le bien-être animal“, ajoute-t-il, tout en précisant qu’il comptait bien voir l’interdiction s’appliquer dès 2019.

Cinquante et un plaignants ont introduit des recours devant la Cour Constitutionnelle pour demander l’annulation de l’interdiction de l’abattage sans étourdissement. Le ministre flamand du Bien-être animal Ben Weyts (N-VA) n’a cependant pas l’intention de reculer dans sa région.

L’Exécutif des Musulmans (EMB), le Conseil de coordination des institutions islamiques de Belgique et les autorités conjointes de la communauté musulmane de Belgique sont entre autres allés devant la Cour constitutionnelle pour contester cette interdiction. Ces organisations affirment qu’il s’agit d’une attaque directe contre l'”une des plus essentielles prescriptions alimentaires de la foi musulmane, une exigence que les animaux doivent être abattus rituellement (halal)“.

Le Comité de coordination des organisations juives de Belgique a également introduit un recours devant la Cour constitutionnelle.

Pour l’instant, cinq plaintes, rassemblant 51 plaignants, ont donc été déposées devant la juridiction qui veille à l’application de certains droits fondamentaux garantis par la Constitution. La Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE), saisie d’une question préjudicielle par le tribunal (néerlandophone) de première instance de Bruxelles, se penche également sur l’interdiction.

Une partie des communautés musulmane et juive manque une opportunité de soutenir la tendance générale qui vise à réduire la souffrance animale“, déplore M. Weyts. “Au lieu de mener une croisade légale, chacun devrait se battre pour le bien-être animal“, ajoute-t-il, tout en précisant qu’il comptait bien voir l’interdiction s’appliquer dès 2019.

rtbf

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